Saco de mamangua - Pouso de cajaiba
Le lendemain, nous avons pour objectif de traverser le Saco (en effet, il n’y a pas de chemin en faisant le tour).
Dans le dernier village, nous rencontrons des gens qui nous disent qu’il faut qu’on attende Andrelinho sur le « quai » du village et que celui-ci devrait bientôt arriver.
Il arrive une heure plus tard et nous « prend en stop » sur sa petite embarcation (il ne peut pas débrayé son moteur ! C’est fun non ?).
De l’autre côté nous trouvons un homme qui nous explique la prochaine portion du parcours. Il nous dit que ça va être difficile et que c’est un chemin de « caçador » (chasseur). On suit ses indications et après 30 min, on se retrouve bien enfoncé dans la forêt sans aucun moyen de savoir où on va.
On trouve une rivière pour se rafraîchir et manger une autre soupe de pattes !
Si tu veux voir la vidéo, bah il faut cliquer avec ton mulot ici!
Ensuite, commence les choses sérieuses. Ça monte grave et liquéfaction n’est même plus adapté à l’état dans lequel on est !
Tiens, zi va, il as mis une autre vidéo! Kecli ici!
Mec, il y en a même une deuxième
On se retrouve sur un chemin difficile à suivre car recouvert de végétation, des arbres tombés nous obligent à passer carrément dans le bois pour retrouver le chemin. On passe dans des endroits magnifique et que sûrement, très peu de touristes ont déjà vu. Finalement, nous arrivons de l’autre côté, sur la plage « praia grande de cajaiba ». Là, on se repose, se baigne, boit un guarana bien frais et profite d’un bateau de touristes pour aller à la prochaine plage.
Nous arrivons au Pouso de Cajaiba alors que l’orage tonne déjà. Nous décidons de s’arrêter dans ce village pour la nuit et nous dépêchons de trouver un camping et monter la tente avant que la pluie arrive.
Après une bonne douche et une bonne bière, nous nous préparons à cuisiner nos pattes quand un groupe de touristes nous prend en pitié et nous font partager leurs repas ! Une bonne feijoada (riz, haricots, légumes et viande).
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